Catégories
Des mots et des idées

Comment pratiquer l’obstétrique cérébrale avec Ligne interactive pour mettre le doigt sur la bonne idée ?

Comment mettre le doigt sur une bonne idée en pratiquant “l’obstétrique cérébrale” avec Ligne interactive ?

Ce qui va permettre de susciter un réel engagement de l’audience dans le cadre de son marketing de contenu commence toujours par l’identification d’une idée maîtresse. Une idée qui sous-tend tout une stratégie de communication. Une idée qui dessine une trajectoire pour guider la création de contenu et qui articule une suite de diffusions cohérente. Cette idée maîtresse, alignée sur les objectifs et les valeurs de l’entreprise, servira de fil conducteur.

graphisme article web

Vous êtes soucieux de la communication de votre marque, des diffusions de votre entreprise. Votre obsession, trouver l’idée maîtresse, celle qui, habillée de sa plus brillante et pertinente armure, saura défendre sa valeur sans user d’arguties car n’ayant nul besoin de pallier sa faiblesse, son vide ou sa fausseté.

L’Idée, la belle, la précise, l’efficace. Celle qui nous fait tonitruer et jeter sur la table, les paupières décapsulées, un : “ putain la bonne idée ”, Celle-là même.

illustration web ampoule

Mais voilà, la canaille est douée pour vous filer entre les doigts des neurones et se cacher dans le varech de votre inconscient.
Il faut pour la saisir combiner de manière optimale différents modes opératoires, s’ouvrir à de multiples issues, sortir de ses zones d’informations, rassembler la diversité des analyses, multiplier les points de vues.

Et c’est là que “l’obstétrique cérébrale” intervient.
En quoi consiste cette approche ? A vos côtés nous déployons une suite de phases pour vous permettre d’accoucher de l’idée qui vous fera aimer l’avoir pensée.

Le déroulé de la séance pour accoucher d'une bonne idée.

  1. Mise en condition pour encourager l’expression libre.
  2. Mise en accord sur l’objectif précis de la séance.
  3. Vidange des inhibitions, des auto-critiques, des idées qui peuvent sembler farfelues ou impossibles.
  4. Partage de vos préoccupations et de vos idées préliminaires.
  5. Phase “on diverge”. On navigue sans quille et sans cap précis. Processus de recherche de nouvelles idées.
    1. Phase Stimulation de l’introspection : processus de réflexion sur ses propres pensées, émotions.
      Objectif : mieux se comprendre soi-même face au défi de communication concerné et découvrir de nouvelles idées et perspectives.
    2. Phase Métacognition : conscience que l’on a de ses propres processus de pensée. Cette phase concerne la façon dont on pense à ses propres pensées et à la manière dont on peut utiliser cette conscience pour améliorer la qualité de ses réflexions.
      Objectif : utiliser cette compréhension pour générer de nouvelles idées de manière plus efficace.
  6. Phase “on converge”. On fait le tri dans les idées. On sélectionne celle qui correspond le mieux à l’objectif visé, en accord avec votre valeur unique de marque et qui présente une originalité particulière.

Votre idée est très souvent la bonne mais vous ne la connaissez pas !

Votre idée est par nature toujours meilleure que la notre. Non, nous ne sommes pas flagorneurs en prétendant cela, simplement votre idée s’est naturellement nourrie de votre environnement, de vos expériences et s’exprime plus ou moins brute, avec une volonté et des objectifs souvent tacites mais toujours justifiés.

C’est pour cela que nous estimons important de mettre notre énergie créative en relation étroite avec vos cogitations, vos réflexions, vos considérations, aussi ténues soient-elles.

Et c’est pour cela que nous pensons que notre exercice d’obstétrique cérébrale est une bonne approche pour vous permettre de bâtir une communication pertinente et bien affûtée.

.
Catégories
Des mots et des idées

Rédacteur web, plus qu’un métier

Rédacteur web, plus qu'un métier

Le métier de rédacteur

Le métier de rédacteur web consiste à choisir les mots justes pour donner de la visibilité en ligne à une entreprise, une personnalité ou une innovation. Pour réussir dans ce domaine, il est important de comprendre les attentes et les enjeux du commanditaire. Cela implique d’interagir, d’ouvrir le dialogue, de discuter avec les parties prenantes pour comprendre leur point de vue. C’est se mettre en capacité de proposer une relation qui repose essentiellement sur une forme d’intelligence émotionnelle. Une fois que ces informations sont recueillies, le rédacteur peut alors utiliser ses compétences en écriture pour créer un contenu pertinent.

Le métier de rédacteur web consiste à combiner des compétences en écoute, en écriture et en utilisation des outils multimédia pour créer du contenu engageant, optimisé pour le référencement naturel, et adapté aux habitudes de navigation des internautes.

Une bonne rédaction, ça commence par les oreilles.​

Choisir ses mots pour donner de la visibilité sur le web à une entreprise, une personnalité, une innovation, c’est en premier lieu ouvrir tous ses sens. Comprendre c’est savoir « entendre ».
Bien entendre c’est être disposé à une écoute totale, inconditionnelle, offerte et sans préjugé, sans faux-semblant, le pavillon grand ouvert et la membrane vigilante, pour capter la moindre donnée qui viendra enrichir le récit.

Rédacteur, un métier pour bien ouïr …

Se lancer, la plume au clair, dans la profession de rédacteur web, c’est avoir pressenti toute la satisfaction que l’on peut prendre à écouter ce que « l’autre que soi » souhaite nous dire, nous raconter, nous décrire.
C’est prendre plaisir à se mettre dans « la peau » du commanditaire, sentir ses attentes, ses enjeux, ses exigences.
Rédiger, c’est jouir de bien ouïr !
C’est, l’espace d’un article, « se couler » dans un rôle, à chaque rédaction, différent.
Tout comme un acteur, un rédacteur puisera dans toute les ressources de ses sens pour traduire au mieux ce qu’il aura saisi du sujet.

Le rédacteur web, une « plume augmentée ».​

Avec la forte présence du web dans nos vies, le métier de rédacteur a évolué. Il s’agit bien sûr toujours d’écrire, avec le plus de clarté possible, avec un style singulier et attractif, mais on s’adresse à un internaute et l’internaute n’est pas un lecteur comme un autre : Il a le regard furtif l’internaute et le scroll nerveux.

Ce lecteur particulier est volatile, sévère en termes d’interactions, et passablement étouffé par une infobésité qui le mène à une forme de « diabète informationnel », « d’overload » problématique.

C’est avec une « plume augmentée » que le rédacteur doit travailler aujourd’hui sa matière. Une plume trempée dans un mix multimédia (graphisme, data, vidéo…) qui lui donnera force et caractère…

… et l’opportunité de produire de nouvelles formes d’écritures comme par exemple une web-story.